Blagues sur les portugais
L’origine des blagues sur les portugais…
Les célèbres blagues portugaises n’ont pas été créées par les français mais proviennent de la colonisation du Portugal au Brésil. Au fil des ans, une querelle a été adoptée en raison de ce qui s’est passé, et les Brésiliens ont commencé à faire des blagues , où les lusitaniens étaient considérés comme stupides.
En d’autres termes, dans chaque blague portugaise, l’humour vient de choses absurdes ou ignorantes que font les Portugais. Le portugais est stupide ? Bien sûr que non ! Ce ne sont que des traditions créées et nous en profitons pour rire un peu plus, tout comme nous pouvons le faire avec les blagues blondes.
Si vous êtes portugais, nous espérons que ces quelques blagues ne vous mettront pas de mauvais poil 😉 !
Nos meilleures blagues de portugais
La femme de ménage portugaise de la piscine vient d’accoucher.
Les maîtres nageurs viennent lui rendre visite à la maternité.
– Tiens Maria-Helena. On a amené un cadeau à ton bébé : son premier rasoir…
– Mais, ch’est oune fille…
– Eh bien, comme ça, elle n’aura pas à emprunter le rasoir de sa maman.
Mais au fait, Maria, tu ne nous a pas dit qui était l’heureux papa ?
– Bah, chi vous croyez qué ch’ai lé temps dé mé rétourner quand ché pache la cherpillère…
Charade portugaise :
Mon premier est un féculent,
Mon second est un féculent,
Mon troisième est un accessoire de salle de bain,
Mon tout est utilisé pour enseigner la base des mathématiques au Portugal.
Réponse : 2 pois-chiches douche !
Un gars se promène par une belle nuit des environs du 25 décembre aux alentours de Bethleem. Il aperçoit une couple dont la femme est enceinte. L’homme tient l’âne qui porte sa femme par le bridon.
Le gars, ému, s’approche d’eux et demande à l’homme : ‘Ne vous appelez-vous pas Joseph, par hasard ?
– Si si
– Et votre femme, ce n’est pas Marie ?
– Mais oui
– Et votre enfant, alors, vous allez l’appeler Jésus ?
– Non mais ça va pas ? Vous nous prenez pour des portugais ?
– Une femme Portugaise prend des cours de ski durant ses congés à Val d’Isère.
Arrivée en haut de la piste avec le moniteur, celui-ci lui demande : – Tout shuss ?
Elle répond :
– Non, yé né peut pas shusser, yé les lèvres gercées avec le froid.
Dans un commissariat de police parisien, une jeune femme brune s’approche de l’officier de permanence, l’air hagard. A son accent, le policier comprend que la jeune femme est d’origine portugaise.
– Bonchour, je fiens me plaindre que che meu chuis fait fioler dans le buche …
– Comment? Vous vous êtes fait violer dans le bus ?
– Oui, Il y en a un qui a commenché à me carrécher, puis il a abuché de moi , et …
– Et personne ne vous a aidé dans le bus ?
– Non, les ch’autres, ils ont regardé et puis ils chont venus me fioler eux auchi !
– Tout le monde est venu vous violer ?
– Oui, tout le monde…
– Et le chauffeur, il …
– Oui, le chauffeur, il a partichipé auchi …
– Mais, vous n’avez pas crié ?
– Chi, chi, ch’ai crié …
– Et personne n’a rien fait ? Ils ont continué ?
– Oui, che vous chure, che criai : Léchez-moi, léchez-moi…
Trois maçons urinent contre un mur quand une plaque de tôle tombe du toit et tranche leur sexe.
Ramassant leur attirail, ils foncent à l’hôpital subir une greffe. Un mois plus tard, le chef de chantier leur rend visite.
Dans la première chambre, Miguel est en train de se masturber : » Mais qu’est-ce que tu fais ? « De la réédoucassioné ! «
Dans la seconde, Manuel est aussi en pleine action : » Mé, Manuel… » » Ma cé la réédoucassioné ! «
Dans la troisième chambre, une infirmière fait une gâterie à Carlos : » Mais, Carlos… » » Eh, mé c’est la réédoucasionné ! Mé moi, y’avais pris oune moutouelle !